La croyance que des vaccins peuvent aider à la guérison relève de la pensée magique, avec un peu de méthode Coué.
Il ne viendrait à l’idée de personne de revêtir un chapeau de sorcier et de faire quelques passes. Et pourtant c’est exactement ce que font les vaccinophiles. C’est comme faire du sport, cela ne tue pas non plus les virus. Libre à chacun de croire ou non que faire du sport maintient en bonne santé. Et pourtant la vaccinophilie est une croyance qui a beaucoup d’adeptes, notamment en Occident, berceau du cartésianisme et du scepticisme scientifique. Comment en est-on arrivé là ?
L’imposture vaccinale.
L’imposture vaccinale remonte au XIX eme siècle.
Louis Pasteur était un plagiaire, un charlatan et un criminel. Tous ses travaux sont des copies de ceux de médecins de son époque. Chimiste, il n’était pas habilité à exercé la médecine, ce qu’il a pourtant fait en toute illégalité. En injectant directement dans les veines de jeunes enfants de la moelle épinière de lapins enragés, il est directement responsable de la mort de bon nombre d’entre eux. Et s’il n’a pas été guillotiné, c’est grâce au réseau d’amis médecins adeptes d’une médecine sacrificielle. Et si après avoir trucidé bon nombre de ses compatriotes avec ses vaccins pourris, Pasteur est quand même arrivé à un résultat qui a fait sa réputation, il convient de préciser que le vaccin contenait un antibiotique et concernait une maladie bactérienne et non virale.
Le WIV-1 Sars-Covid est une arme biologique
Le docteur David Martin qui a étudié le sujet, a montré lors d’une
conférence au Parlement européen, que le WIV-1 a été fabriqué à Wuhan en Chine et qu’il est étudié depuis 1965. Appelé aussi Sars-Covid, le Wuhan Institute of Virology Virus 1 a été fabriqué en Chine pour échapper au Traité de non-prolifération des armes biologiques signé par les Etats-Unis, et cela tout en maintenant une collaboration avec les universités américaines, notamment le Centre John Hopkins.
L
’hydroxychloroquine est un anti-virus Sars-Covid in vitro
Si même le grand opposant à l’hydroxychloroquine le dit, à savoir
l’influenceur Nathan Peiffer-Smajda, c’est bien que c’est universellement reconnu. Dans sa méta-analyse, Peiffer-Smajda conteste que l’HCQ soit un anti-virus in vivo mais admet qu’il est bien in vitro. La différence, c’est qu’un anti-virus in vitro tue les virus dans toute solution, en ce compris dans le sang et qu’un anti-virus in vivo tue les virus non seulement dans le sang mais aussi à l’intérieur des cellules. On peut admettre que certains médecins aient des doutes sur l'efficacité d'une thérapie. Mais on ne comprend pas l'interdiction de l'HCQ dans certains pays étant donné qu'un anti-virus in vitro ralentit la progression du virus puisque l'anti-virus tue le virus dans le sang.
Une longue tradition de vaccins pourris
Dans son livre «
Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma » Robert Kennedy Jr évoque toute l’histoire des vaccins et notamment celle de vaccins causant plus de morts que la maladie, à savoir la grippe porcine aux Etats-Unis et la dengue aux Philippines. De tout cela, le marketing pharmaceutique n’en parle pas, pas plus que les média des milliardaires ou de propagande d’état qui leur sont inféodés. Le vaccin Sars-Cov s’inscrit dans cette longue tradition. On ne connaît pas encore le nombre de morts que ce vaccin a causés mais ce qui est sûr c’est qu’il est totalement inefficace, sa durée de « protection » n’étant que de 5 semaines.
Un héritage historique : les charlatans du far-west
A l’époque de la conquête de l’Ouest, de prétendus « faiseurs de miracles » écumaient les plaines américaines en promettant des guérisons merveilleuses après l’usage d’élixirs magiques. Leur charlatanisme dénoncé, ceux-ci se retrouvaient la majorité du temps enduits de goudron et de plumes. Les charlatans ont continué d’exister, mais l’usage du goudron et des plumes s’est perdu. Dommage.
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