L’industrie des fœtus issus d’avortement

La viande artificielle Tout le monde s’est posé la question de savoir comment on obtient de la viande artificielle ou viande de synthèse. C’est sûr que si on dépose un beau steak sur la table, les cellules ne se reproduiront pas car il s’agit de cellules mortes. Alors pour obtenir des cellules vivantes prétendument « sans tuer d’animal », on pratique de la manière suivante : les industriels prélèvent un fœtus issu d’avortement et le laisse entre la vie et la mort. Médicalement le fœtus est « cliniquement mort », mais en réalité les cellules continuent de se reproduire (donc forme de vie) et il n’y a pas de rigidité cadavérique (mort vraie), Le fœtus pas tout à fait mort est alors découpé en morceaux dont les tissus musculaires seront « élevés » en culture de manière à produire de nouvelles cellules. C’est ce qu’on appelle des « cellules souches ». A la question de savoir si cette méthode cause des effets secondaires indésirables chez le mangeur d’une telle viande comme cela s’est passé avec les vaccins, nous n’avons pas encore de réponse. Les vaccins Les virus ne peuvent vivre et se développer qu’au sein de la matière vivante. Ils sont donc élevés soit au sein d’œufs de poule fécondés, soit au sein de cellules souches produites par des fœtus issus d’avortement. Ici, la question éthique se pose : a-t-on le droit de tuer (ou de laisser mourir) des enfants à naître pour faire avancer la recherche médicale ? Car la réflexion que nous avons faite sur la fabrication de viande artificielle nous a amené à découvrir que le fœtus issu d’avortement n’est « pas tout à fait mort » lorsqu’il sert d’expérimentation aux nouveaux docteurs Mengele. Si j’utilise ce terme violent, c’est parce que certains médecins qui ont fait de la recherche sur les vaccins n’ont pas hésité à tester sur l’être humain des vaccins n’ayant jamais été testé sur l’animal, dont certains étaient létaux. Le fait que ces tests aient été faits dans les pays en voie de développement ne les exonerent en rien de toute responsabilité, Au contraire, cela ajoute l’eugénisme et le racisme à l’ignominie déjà présente.