Les essais cliniques randomisés
A quoi servent-ils ? Ces essais permettent à la fois d’homologuer un nouveau médicament mais aussi de comparer les effets du médicament sur une personne par rapport à une personne qui reçoit un placebo, C’est pour cela que deux groupes au sein des volontaires humains, un groupe recevant le médicament et l’autre de l’eau sucrée (placebo). Administrativement, ils servent de « preuves » de l’efficacité du médicament.
Pourquoi les docteurs Raoult et alii n’ont-ils pas fait des essais cliniques homologués pour l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine ? Tout d’abord les médecins ne sont pas des fonctionnaires, utilisent des médicaments homologués et n’ont pas besoin de preuves administratives pour faire un diagnostic et prescrire une thérapie, En première année de médecine on apprend le principe de la boîte noire. En gros, c’est comme pour une télé, pas besoin de connaître l’intérieur du poste ni son fonctionnement pour pouvoir l’utiliser. L’essentiel c’est que ça marche, pas besoin de connaître les détails. Si statistiquement on constate qu’un médicament homologué fonctionne aussi pour un champ d’action plus large, il n’est nul besoin de savoir précisément si c’est le principe actif qui agit ou la musique classique qui est jouée concommitement, on peut se baser sur les probabilités sachant très bien que si c’est la musique classique qui agit et qu’elle n’est plus jouée par la suite, on se rendra vite compte de la cause exacte.
L’aspect éthique de cette décision. Peut-on imaginer un instant que des docteurs dignes de ce nom aient sacrifié une moitié des patients et sans doute condamné à des séquelles graves et irréversibles voire à une mort certaine juste pour avoir une preuve administrative et cela alors que le médicament est parfaitement homologué et qu’ils connaissent les statistiques des tous premiers essais cliniques (ceux où on a pour la première fois constaté les effets anti-viraux d’un médicament originellement utilisé contre le paludisme)
Pourquoi le vaccin Sras-Covid devait-il lui faire l’objet d’essais randomisés ? Le Vaccin Sras-Covid n’était pas homologué lors des premières injections, une homologation pour un nouveau médicament prend généralement 10 ans. En 6 mois, il n’était donc pas possible de produire un nouveau vaccin homologué. Cette obligation d’essais cliniques randomisés permettait de déceler les effets secondaires du médicament chez certains patients en les comparant justement à un groupe n’ayant pas reçu le médicament. Fournir un médicament au grand public dont on ne connaît pas les effets secondaires est extrêmement dangereux pour les personnes ayant certaines « faiblesses » ainsi qu’à celles qui ne les connaîtraient pas. Les fonctionnaires diront que le pourcentage d’effets secondaires graves est très faible. Mais un pourcentage très faible sur des milliards d’habitants cela fait beaucoup de monde, Pour l’individu, cela revient à jouer à la roulette russe. Certes, la probabilité est faible, mais sachant cela auriez-vous pris le risque ?
L’effet des essais randomisés sur la santé de la population. Chez les individus ayant reçu un placebo et qui ont contracté la maladie, ont eu des séquelles graves, voire sont décédés, beaucoup (ou les proches pour les trépassés) sont persuadés qu’il s’agit d’effets secondaires du vaccin et cela alors qu’il s’agit de l’effet secondaire de l’absence de vaccin. Et si l’on regarde les injonctions données aux médecins par les fonctionnaires, on se rend compte que « l’autorisation du patient n’était pas requise ». Je crois qu’un jour les victimes de ceux qui ont géré en fonctionnaires la crise du Sras-Covid demanderont des comptes à la justice (au niveau des effets secondaires du vaccin) , les autorisations nécessaires pour des tests cliniques devront être fournies. Et là on saura si les patients ont été ou non abusés, pensant recevoir un médicament et recevant en fait un placebo,.
Fallait-il lancer une campagne de vaccination alors que des médicaments ayant fait leurs preuves existaient ? Dans un monde idéal où il n’y a aucun conflit d’intérêts, corruption ou incompétence, cette question ne se poserait même pas, Le médecin qui a découvert l’ivermectine a reçu le prix Nobel de médecine, L’hydroxychloroquine a fait ses preuves depuis plus de soixante ans, était en vente libre dans de nombreux pays avant que les fonctionnaires de l’ONU ne « déconseillent » son utilisation et cela sans avoir pris la peine de lire toute la littérature médicale disponible sur le net qui montrent les guérisons de patients atteint du Sras-Covid lorsqu’ils sont soignés à temps à base d’hydroxychloroquine (ou ivermectine) associé à la prise de zinc et cele sans aucun effet secondaire,
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